Redif de la pomme et l’escargot

    Comme je vous le disais précédemment, j’ai découvert dans mes statistiques qu’un billet était souvent visité, grace notamment à des recherches google « pomme pomme t’es tu fais mal? » Ce billet date de mars 2007.Vu le succès qu’à ce billet, je le remet donc

    Pomme, pomme, t’es tu fais mal?

    03 mar 2007 Un commentaire

    by la noiraude du jura in Non classé [Edit]

    Depuis très longtemps, je cherche une poésie que j’ai apprise à la maternelle. Souvent je me rappelais cette poésie qui disait : « Pomme, pomme t’es tu fais mal? J’ai le menton en marmelade, ….. et l’oeil poché. C’est tout dont je me souvenais. Je sais pas pourquoi mais très souvent cette poésie me revenais en mémoire et je voulais la retrouver.
    Cet après-midi, Le petit garçon de mon copain m’a passé sa petite balle et voulais que je jongle. J’avais pas d’autre balle alors j’ai pris une pomme. N’étant pas douée du tout, bien sûr, la pomme est tombée par terre. Et ma réaction a tout de suite été de dire : « pomme pomme t’es tu fais mal? » Voila l’énigme de la pomme était revenue à mon esprit. Fallais vraiment que je la retrouve! J’ai donc fais une recherche internet et je l’ai trouvé tout de suite. Merci Google!!! En fait la poésie s’appelle « La pomme et l’escargot » de Charles Vildrac.
    Je sais pas vous, mais jsuis trop contente quand je retrouve quelque chose que je cherche depuis longtemps. Comme le coup où j’ai retrouvé comme s’appelait la vache du Manège enchanté, Azalée. J’ai bien sûr enregistré le poème. Le voici donc :
    LA POMME ET L’ESCARGOT
     

    Il y avait une pomme

    A la cime d’un pommier;

    Un grand coup de vent d’automne

    La fit tomber sur le pré !

    Pomme, pomme,

    T’es-tu fait mal ?

    J’ai le menton en marmelade

    Le nez fendu

    Et l’oeil poché !

    Elle tomba, quel dommage,

    Sur un petit escargot

    Qui s’en allait au village

    Sa demeure sur le dos

    Ah ! stupide créature

    Gémit l’animal cornu

    T’as défoncé ma toiture

    Et me voici faible et nu.

    Dans la pomme à demi blette

    L’escargot, comme un gros ver

    Rongea, creusa sa chambrette

    Afin d’y passer l’hiver.

    Ah ! mange-moi, dit la pomme,

    puisque c’est là mon destin;

    par testament je te nomme

    héritier de mes pépins.

    Tu les mettras dans la terre

    Vers le mois de février,

    Il en sortira, j’espère,

    De jolis petits pommiers.

    Charles Vildrac



    dans ma recherche (j’avais tapé « pomme pomme t’es tu fais mal? » j’ai trouvé une autre poésie écrite par une école maternelle. Géant en plus il y a une vache dans l’histoire.

    Spéciale dédicace à la Vachette, on parle de toi dedans.


    Maternelle de Belin-Beliet / Moyenne et grande sections

    Lien :

    http://ecoles33.ac-bordeaux.fr/R_Ressources/Educart/Pommes/reinette%20la%20pomme%20rouge.htm

    REINETTE,
    LA POMME ROUGE

    Il
    y avait une pomme rouge, belle, ronde et brillante à la cime d’un pommier.
    Cette pomme ne voyait que des vaches qui venaient brouter l’herbe dans le pré.
    Elle avait envie de découvrir la nature.

    Un
    jour, la tempête se mit à souffler de plus en plus fort ; Le vent finit par
    arracher la pomme et elle tomba par terre.

    Pic-pic
    : – Pomme, pomme t’es-tu fait mal ?
    Reinette : – J’ai le menton en marmelade, le nez fendu et l’œil poché.
    Pic-pic : – Je suis Pic-pic le hérisson et toi qui es-tu ?
    Reinette : – Je m’appelle Reinette, la tempête m’a fait tomber du pommier.
    Pic-pic : – Tu es encore belle, ronde et brillante, j’aimerais bien te croquer
    !
    Reinette : – Non, écoute plutôt ma petite chanson :

    Je suis la Reinette, je suis tombée
    du pommier.
    La tempête m’a arrachée. Tu voudrais bien me croquer. Mais je préfère rouler !
    Attrape-moi si tu peux

    Reinette
    : – Pic-pic n’a pas réussi à me rattraper, je continue ma promenade.

    Noisette
    : – Bonjour, je suis Noisette l’écureuil et toi qui es-tu ?
    Reinette : – Je m’appelle Reinette, la tempête m’a fait tomber du pommier.
    Noisette : – tu es encore belle, ronde et brillante, j’aimerais bien te croquer
    !
    Reinette : – Non, écoute plutôt ma petite chanson :

    Je suis la Reinette, je suis tombée
    du pommier.
    La tempête m’a arrachée. Tu voudrais bien me croquer. Mais je préfère rouler !
    Attrape-moi si tu peux

    Reinette
    : – Noisette n’a pas réussi à me rattraper, je continue ma promenade.
    Vachette : – Bonjour je suis Vachette la petite vache et toi tu es Reinette.
    Que fais-tu ici ?

    Reinette
    : – La tempête m’a fait tomber du pommier.
    Vachette : – Tu es encore belle, ronde et brillante, j’aimerais bien te croquer
    !
    Reinette : – Non, écoute plutôt ma petite chanson : Je suis la Reinette, je suis tombée
    du pommier. La tempête m’a arrachée…

    Vachette
    : – Croc !!!
    Vachette croqua la petite pomme et repartit brouter l’herbe dans le pré.

    Reinette
    : – Je ne peux plus rouler ! Je ne peux plus chanter !

    Toute
    triste, Reinette ne pouvait plus découvrir la nature. Elle vieillit, pourrit,
    et de longues années plus tard, elle devint un beau pommier chargé de belles
    pommes toutes rouges, rondes et brillantes !

    Rediffusion

    Pas de mots depuis quelques temps. Pas d’inspiration. Les sujets sont pas toujours là au bon moments ou alors c’est l’inspiration qui n’est pas là quand il faut……. Bref j’ai pas été bavarde.

    Mais pour ne pas laisser mon pré dans cet état. Afin de l’animer un peu,

    Pour vous, ce soir,

    Une rediffusion Sourire : (un copié-collé quoi)

    Comme vous le savez, 
    je suis totalement fane de la Noiraude. Ces dernières anecdotes dates
    de 2001 avec son livre "pas folle de la Noiraude". Depuis ses créateurs
    Jean-Louis Fournier et Gilles Gay n’en n’ont pas ressortit. Alors moi ça
    me manque, alors histoire de passer le temps avant le jour où elle
    reviendra (car j’espère sincèrement qu’elle reviendra) j’en invente. Que
    j’écris pas toujours, vu qu’après je les oublis, ou alors j’oublie de
    les noter, donc du coup après je les oublis…….Surtout il faut
    rajouter que la plupart du temps, c’est dans mon lit que ça m’arrive,
    juste avant de m’endormir, alors j’ai pas le courage de prendre un
    calepin….. Alors je pense très fort qu’il faut que je m’en rappelle le
    lendemain matin, et….ça marche pas forcément, alors du coup j’oublie……. (hein? je l’ai déjà dit?).

    Oui je l’avoue aussi, il y a
    beaucoup de flemme là dessous…… hum…

    Mais celle ci, je m’en souviens. Après la noiraude qui voudrait être un homme (celle ci aussi elle a échappée à mon oublis) :

    LA CRISE

    – Allo?

    – Bonjour Docteur, la Noiraude à l’appareil…

    – Bonjour la Noiraude, qu’est ce qui ne va pas encore?

    – Docteur, j’ai peur…

    – Allons, allons la Noiraude, peur de quoi?


    l’autre matin, pendant que Renée installait la trayeuse, que je déteste
    toujours, soit dit en passant, elle parlait avec son mari Gilbert, et
    elle était très inquiète

    – ….


    Ils parlaient de la crise. Alors là j’ai eu peur, jpense même que mon
    lait a tourné. J’me suis dis, ça y est, ça recommence, la crise de la
    vache folle est revenue. Et bien, c’était pas ça Docteur, non! Cette
    fois c’est la crise de l’humain!

    – Allons allons la Noiraude qu’est ce que vous me racontez là?


    Oui Docteur. Gilbert disait a Renée, que c’était la crise. Qu’y avait
    la crise partout. Il disait aussi qu’on ne veut plus prêter, que les
    gens ont peur, qu’il y a plus de sous…

    – ……

    – Vous êtes toujours là Docteur?

    – hum oui

    – Vous avez peur aussi hein?

    – ….


    C’est ensuite que j’ai eu le plus peur. A un moment Renée pleurait et
    disait a Gilbert "qu’est ce qu’on va faire?" .  Ils parlait de vendre
    quelques une d’entre nous. Vous vous rendez compte Docteur? Nous vendre
    nous! Docteur? Ya plus de sous, c’est vrai?

    – hum…..hum (grattement de gorge) oui la Noiraude, c’est vrai…


    C’est bien vous les hommes ça! Vous en voulez toujours plus, toujours,
    et ce que vous obtenez vous le remplacez vite, toujours plus vite, pour
    avoir meilleur, toujours meilleur. Vous en avez jamais assez. Et
    maintenant vous dites qu’il y a plus rien? Quand la vache a plus de
    lait, elle a plus de lait, inutile de tirer dessus. Oui, car c’est
    toujours nous, les vaches qui trinquons.

    On va voir les vaches! Les jurassiennes avant les normandes

    Entre deux averses, ce week end,on avait droit à un fort beau temps. Et même parfois un coin de ciel bleu.

    Et cerise sur le gâteau, les vaches étaient en champ, dans celui où j’ai l’habitude d’aller.

    vous le voyez le coin de ciel bleu?

    Je les contemple, assise sur le muret. Mais très vite je vais chercher l’appareil, je me faufile sous les barbelés.
    Je tente quelques approches…………….. mais a part une ou deux qui me renifle le bout des doigts, pas une ne s’approche de plus prêt.
    Et c’est partie pour la séance photo.

    Les photos? Elles sont, , dans mon album "on va voir les vaches" (le dernier). j’en ai profité pour rajouter celles prise il y une une quinzaines de jours. Ce jours là, c’était dans le pré de magnifiques Highland Cattle que je me suis faufilée. Qu’est que c’est? Vous savez ses petites vaches écossaises avec de longs poils. Non ça vous dis rien? regardez là

    Mais bientot c’est dans le pré de Normandes que j’irai Rire

    Et oui, jeudi matin, et de très bonne heure, s’il vous plait, toute la troupe des Rouquins embarquera dans le minibus pour la Normandie. Nous jouons à Troarn, dans le calvados, le vendredi 14 mai. Les autres jours, seront consacrés aux visites, aux balades………….. Nous séjournerons dans un gite. Oui, un magnifique gite pas loin de la mer, waouuuuu!
    Comme j’ai hate!
    Je vous ferai un billet complétement consacré à ce séjour dès mon retour Sourire

    Et puis aussi, j’ai continué mes bricoles. J’ai fais de nouveaux bijoux, que j’ai rajouté ici. (Les personnes intéressées, peuvent me faire leur demande par message).

    Coté boulot, j’ai postulé à 2 offres très intéressantes. Pour une embauche. Dont une encore plus intéressante, car c’est pour un poste d’assistante de direction dans un théâtre. Héhé!!!!!
    Sinon pas de nouvelles missions en vue.

    Voila pour les nouvelles,

    la noiraude court court court

    Oulala mais que ça fait longtemps que j’ai rien écris moi!
    Jsuis plus trop dans la blogosphère en ce moment. J’essaie tout de même de faire en sorte de passer régulierement chez vous bien sur. Mais pour écrire, vu tout ce que j’écris à chaque fois, il faut du temps.
    Ce soir je l’avais. Allez zou! jm’y met, je vais voir mes amis, leur dis un pti bonjour et commente leurs histoires,  je mets des photos.. et le temps passe vite, vite. Je cours après le temps. Jsuis essoufflée.
    J’ai tellement de choses à raconter. Faut que je fasse vite. Alors je vais tout dire comme ça me vient. Jvais surement en oublier et ça sera dans le désordre mais bon.

    Déjà, la jolie nouvelle, c’est que nous avons à la maison un nouvel ami. C’est mon homme qui l’a accueillit plus précisément. Car cette petite bête à décider de l’adopter. Non la je parle pas de mon homme. La petite bête, c’est un petit chien qui était abandonné (un vieux collier mais pas de nom, et pas de tatouage). Il a tout de suite adopté mon taureau. C’est lui qui la choisit. Il errait dans le village. On a apprit que cela faisait 15 jours. Il trainait devant la maison. Alors il lui a d’abord donné des croquettes de Frolic (il s’en sert pour pêcher la carpe). La ptite bête a tout engloutit d’un seul coup, il était affamé le pauvre. Et puis après il l’a fait rentré. Il lui a donné des caresses. Le pauvre il était dans un sale état. Remplit de tics. Et il avait des grosses boules de poils. Allez hop ni une ni deux mon homme a pris sa pince a tic et lui a tout enlevé. Plus de 25 tics! On l’a rasé comme on pouvait et coupé les grosses boules de poils. J’ai pris une photo pendant l’action

    Je lui trouve une tête de Grimlins Tire la langue

    Il a passé la nuit vers nous (il ne voulait pas le laisser dormir dehors).

    Et puis……… nous l’avons emmené avec nous. Je me suis renseigné, je n’ai rien trouvé sur des personnes qui pourraient le rechercher. Il  n’est ni tatoué, ni pucé.
    Maintenant Marius nous suit depuis une semaine dans nos ballades



    Il est super gentil, il s’est vite habitué à nous. Et mes chats aussi. Enfin, ça peut aller, ils se bagarrent pas quoi. Loulou fait son chef et le souffle quand ça lui prend comme ça et quand il a décidé que de toute façon il va pas laissé ce « chien » faire sa loi chez LUI. Non mais ho!
    Pepette elle, se contente de le regarder de loin. Elle, elle s’en fou, elle a sa cachette loin de la portée de cette bête à quatre pattes pleine de poils. Mais elle ne se laisse pas faire non plus. Marius lui veut jouer, alors il arrive tout content… mais il se fait recevoir le pauvre, par un tsssssssssssssssssssssss
    Ils me font bien rire. Je sais que dans peut de temps, il vont devenir potes.

    J’ai passé encore tout le week end à Crenans (je faisais le pont Tire la langue). Hummm cette bonne odeur de campagne! Je m’en lasse pas. J’ai encore pris quelques photos. J’ai créé un album sur le village. C’est un peu tout en vrac Confus

    Et samedi, les vaches étaient dans le champs Rire
    J’ai n’ai toujours pas réussis à en caresser une (soupir). Toujours pareil, je leur touche le museau et elle se sauve…….

    On est rentré samedi soir, car aujourd’hui j’avais prévu de trier mes vêtements………Confus
    De ranger quoi.
    Depuis le temps que je repportait……

    Avec une chaleur pareil! Ya pas idée!

    Bon ben jm’y suis mise quand même. Mais j’ai pas fait tout ce que j’avais prévu : ranger les papiers…. (la date limites des déclarations approche….), jetter mes journaux quotidiens que j’entasse, entasse….

    Faisait trop chaud pour travailler.

    Bon on verra ça un autre jour.


    Demain, je retourne au boulot. Je sais plus si je vous l’ai dis, j’ai signé un nouveau contrat jusqu’a fin juillet Sourire

    Vendredi soir, direction Pontarlier!!!!!! On joue Les Rouquins Rire Jsuis trop contente. Ca me manquait!
    On répète mardi soir. J’en ai bien besoin, ya 2 semaines on s’est retrouvé lors d’une soirée fondue pour faire une italienne. J’avais pas revu mon texte depuis la dernière du 11 avril…..Confus j’ai eu plein de trou. Va falloir que je révise tout ça.

    Ben voila, je crois avoir tout dis. Et presque dans l’ordre en plus.
    Arf, yen a encore une belle tartine.

    Ca va ?

    J’ai oublié de vous faire une entracte.


    J’essaierai d’y penser la prochaine fois.



    on va voir les vaches!

    Rooooo jvous ai pas raconté!

    Le week de Paques, nous sommes allé à Crenans ("mon village"). Huuuuuummmmmmm la campagne!!!!!! Le bon air, les bonnes odeurs…

    Et les vaches!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Rire

    Ca y est elles étaient enfin de retour en champs. C’était leur premier week end de sortie

    Et dans le champ juste à coté de chez belle-maman Sourire





    Je suis pas rentré dans le champs. Pas osé. Les proprios aiment pas trop et jvoulais pas les énerver dès l’début! pis surtout mon taureau n’y tenais pas.

    Mais si je ne peux pas aller aux vaches, les vaches viennent à moi. Suffit de s’accroupir et d’attendre.

    Et puis voila



    Vous verrez les autres photos dans l’album. (le téléchargement de photos dans mon billet est beaucoup trop long)


    Et le week end dernier

    Je dormais chez belle maman Sourire

    Nous nous sommes mises à notre passe temps, notre activité favorite à toutes les deux, la fabrication de bijoux en perles. Elle a fait un collier et moi des paires de boucles d’oreilles. Faudrait d’ailleurs que je mette des photos.

    Et le lendemain matin au réveil. Belle maman me dit : "ya tes copine en face"

    Je regarde par la fenêtre et je vois en effet, juste en face, mes copines.



    Après le petit déjeuner et ma douche, je suis vite allez les voir. Là bien sûr je rentre dans le pré. Et je m’approche furtivement, avec ma démarche spéciale approche de vaches, la démarche en canard (je marche accroupie). J’étais au milieu du champ et presque une a une, elles se sont approché de moi. Et là mon appareil a mitraillé (voir l’album). J’ai pu leur toucher le bout de museau, c’est toujours à ce moment qu’elles reculent. Mais yen a une, qui s’est rapprochée, m’a sentit de nouveau en insistant et j’ai pu la caresser. Juste sur le coté et le devant de la tête mais quand j’ai voulu lui grattouiller les oreilles comme je faisais avec Marguerite, elle a reculée. J’ai pas insisté, elle a montré des signes "d’agressivité" (léger bien sur) en baissant la tête et en me fixant..

    J’étais contente, le premier pas avait été fait. Avec de la patience, j’arriverai a l’approcher vraiment et jlui gratouillerai les oreilles Sourire

    à suivre…..







    Histoire de la Noiraude

    Comme vous le savez,  je suis totalement fane de la Noiraude. Ces dernières anecdotes dates de 2001 avec son livre « pas folle de la Noiraude ». Depuis ses créateurs Jean-Louis Fournier et Gilles Gay n’en n’ont pas ressortit. Alors moi ça me manque, alors histoire de passer le temps avant le jour où elle reviendra (car j’espère sincèrement qu’elle reviendra) j’en invente. Que j’écris pas toujours, vu qu’après je les oublis, ou alors j’oublis de les noter, donc du coup après je les oublis…….Surtout il faut rajouter que la plupart du temps, c’est dans mon lit que ça m’arrive, juste avant de m’endormir, alors j’ai pas le courage de prendre un calepin….. Alors je pense très fort qu’il faut que je m’en rappelle le lendemain matin, et….ça marche pas forcément, alors du coup j’oublis……. (hein? je l’ai déjà dit?). Oui je l’avoue aussi, il y a beaucoup de flemme là dessous…… hum…

    Mais celle ci, je m’en souviens. Après la noiraude qui voudrait être un homme (celle ci aussi elle a échappée à mon oublis)

    LA CRISE

    – Allo?

    – Bonjour Docteur, la Noiraude à l’appareil…

    – Bonjour la Noiraude, qu’est ce qui ne va pas encore?

    – Docteur, j’ai peur…

    – Allons, allons la Noiraude, peur de quoi?

    – l’autre matin, pendant que Renée installait la trayeuse, que je déteste toujours, soit dit en passant, elle parlait avec son mari Gilbert, et elle était très inquiète

    – ….

    – Ils parlaient de la crise. Alors là j’ai eu peur, jpense même que mon lait a tourné. J’me suis dis, ça y est, ça recommence, la crise de la vache folle est revenue. Et bien, c’était pas ça Docteur, non! Cette fois c’est la crise de l’humain!

    – Allons allons la Noiraude qu’est ce que vous me racontez là?

    – Oui Docteur. Gilbert disait a Renée, que c’était la crise. Qu’y avait la crise partout. Il disait aussi qu’on ne veut plus prêter, que les gens ont peur, qu’il y a plus de sous…

    – ……

    – Vous êtes toujours là Docteur?

    – hum oui

    – Vous avez peur aussi hein?

    – ….

    – C’est ensuite que j’ai eu le plus peur. A un moment Renée pleurait et disait a Gilbert « qu’est ce qu’on va faire? » .  Ils parlait de vendre quelques une d’entre nous. Vous vous rendez compte Docteur? Nous vendre nous! Docteur? Ya plus de sous, c’est vrai?

    – hum…..hum (grattement de gorge) oui la Noiraude, c’est vrai…

    – C’est bien vous les hommes ça! Vous en voulez toujours plus, toujours, et ce que vous obtenez vous le remplacez vite, toujours plus vite, pour avoir meilleur, toujours meilleur. Vous en avez jamais assez. Et maintenant vous dites qu’il y a plus rien? Quand la vache a plus de lait, elle a plus de lait, inutile de tirer dessus. Oui, car c’est toujours nous, les vaches qui trinquons.

     

    Une journée formidable

    Ho oui une superbe journée que celle de samedi. C’ est bien pour ça que je vous la raconte (pas pu avant).

    Ça commence par un détour au lac de Vouglans où j’ai retrouvé mon pêcheur après sa session carpe de 3 jours. Dommage, il a fait « capot » mais comme il dit « il a pris l’ air ». Et puis il y est tellement bien. Et puis ça peut pas non plus marcher à tout les coups. La session d’ avant, il avait fait une belle miroir de 20kg. Il pliait ce matin là, je l’ai donc rejoint pour l’ aider et profiter du grand air. Et en plus le soleil était au rendez-vous

    Sous Maisod - Vouglans

    Après moultes allez-retour aux voitures pour ranger le matos, nous partons de ce bel endroit pur allez chez « ma belle maman ». Petit détour par le jardin où je vois que mes tournesols ont bien poussés (plantés en juin)

    mes tournesols rouge

    Et puis, je lance l’idée ‘allez faire un tour à la comice agricole qui se déroulait à Arinthod. Je dois dire que mon taureau n’était pas trop partant, mais ça me faisait tellement plaisir aussi que j’ai pas eu a beaucoup insister.

    Alors hop, on monte dans la « noiraude mobile » et direction la comice

    Sur la route, on voit une bétaillère remplie de vaches, puis une seconde….. Mon homme me dit alors qu’il est sûrement trop tard que ça doit être terminé (ho non!). C’est vrai qu’il était plus de 16h…..(c’est de ma faute, j’aurais du prévoir la journée)

    On arrive sur place, et effectivement, c’était la fin…. Mais heureusement, toutes les vaches n’étaient pas encore partie. Qu’elles sont belles! Magnifiques, toutes bien préparées pour l’ occasion. Des reines de beautés. J’ai demandé à un agriculteur si je pouvais en caresser une. Il m’a dit qu’il y avait pas de problème, il l’a caresser avant pour pas qu’elle est peur. Et voila, je la cajole, lui parle. J’étais aux anges. Elle s’appelle Arthenire.

    SDC10117

    Et puis voila, on a regarder partir les vaches qui restaient. Mon homme a pris des photos. Y avait une agricultrice qu’il les faisait monter dans la remorques. Ben tiens, il l’a prise en photo aussi. Et pas qu’une! Pfffffff……..

    Et après ça, on est rentrés. Même si j’ai pas vraiment assisté à la Comice, j’étais très heureuse d’avoir vu toutes ces belles Montbéliardes. Et puis, des Comices il y en aura d’autres.

    Voila une très belle journées d’un samedi ensoleillé. La journée de dimanche n’était pas mal non plus puisque nous sommes allé au champignons. Et la récolte a été très bonne. Bon, je l’avoue c’est grace à mon taureau qui a un vrai oeil de lynx. Il est capable de repérer une trompette à vingt mètre au moins. Lui en ramassé 3 sacs. Moi.. Bon j’étais toutes fière avec mon petit sac (loin d’être rempli) et je le rejoignais pour lui dire « regarde ce que j’ai trouvé! » et à ce moment il me montre sa cueillette. 3 beaux sac dont un rien que de grosses. Moi j’ai trouvé que des petites…. Il s’est moqué de moi le bougre (gentiment bien sur). C’est vrai qu’il avait de quoi quand même lol. J’ai pu remplir mon sac en ramassant les trompettes dans les taches qu’il repérait. Le soir il m’a préparé une poêlées de trompette à la crème, c’était succulent. Le reste, on va les faire sécher et les mettre dans des bocaux. Et on va y retourner, pour qu’on en ai pendant longtemps. Hummmmmmmm

    Voila c’était vite raconté, mais c’est raconté. Bon le mieux c’est de regarder les photos, je vous met l’album de cette journée.

    La Noiraude

    Je me suis acheté dernierement, un livre de la Noiraude. Le dernier paru, en 2001, "Pas folle la Noiraude". Il est trop génial. Excellelent, des rires à chaque page tournée. Ce que j’aime aussi, c’est que les sujet abordés par cette pauvre Noiraude toujours aussi "dépressive" sont vraiment d’actualité. Et elle veux faire comprendre au vétérinaire que les hommes vont trop loin, en veulent toujours plus. Elle traite de la vache folle, de la nourriture qui ne passe plus que par des granulés, de l’avenir qu’auront ses veaux et que c’est pour ça qu’elles ne veut plus en faire. Et bien d’autres choses encore. A mourir de rire. Je vous le recommande. Une dose par jour (une histoire) de la Noiraude, bon humeur garantit 
    Les auteurs sont bien sûr les même, Jean-Louis Fournier et Gilles Gay .
    IL exsite 2 autres ouvrages, que je m’acheterais aussi bein sûr Sourire : "La Noiraude" et "Encore, la Noiraude"
     
    Voici un de mes préférés :
     
    – Allô?
    – Bonjour Docteur, la Noiraude à l’appareil…
    – Bonjour la Noiraude, qu’est ce qui va pas encore?
    – Docteur, je vieillis.
    – Moi aussi, tout le monde vieillit.
    – Oui, mais moi, c’est pire.
    – Vous, c’est toujours pire, qu’est ce qui vous arrive?
    – Il y a un poil blanc sur ma queue.
    – Vous allez en trouver d’autres et de plus en plus. C’est toujours la queue qui vieillit la première, et le reste suit. A la fin, c’est la tête. A propos de tête, vous connaissez les premiers symptomes de la maladie du docteur Alzheilmer?
    – Je donne ma langue au chat.
    – Et bien, c’est quand on dit : "J’ai la maladie du docteur… du docteur… je me souviens plus de son nom."
    – Il faut rire?
    – C’est pas obligé.
    – Je ne voudrais pas perdre la mémoire, c’est comme si je perdais le bonheur.
    – Qu’est ce que vous voulez dire, la Noiraude?
    – Le bonheur, je ne le trouve que dans mes souvenirs, dans le passé, pas dans le présent, parce que le présent…
    – Qu’est ce qu’il a, le présent?
    – Le présent d’une vache, il n’a pas d’avenir, et il sent moins bon que le passé. Le passé, il sentait le foin.
    – Qu’est ce qu’il sent, le présent?
    – Le présent, il sent le brûlé.
     
     Jean Louis Fournier – Gilles Gay
    gsdtimages

    Week-end à la campagne, toujours (et rien que du bonheur)

    Vive le soleil et l’été qui a été là, enfin, le temps d’un week-end!!
    Un week-end bien rempli, un week-end estival.
    Samedi après un bon petit repas-barbecue en famille (la famille de mon homme), je suis allé me baigner au lac de Vouglans. Et pour une fois je suis allé sur la plage, c’est vrai que d’habitude c’est pas trop mon truc, je préfère les coin tranquille, les berges où il ny a personne au bord d’un bois (et las-bas c’est pas ce qui manque). Yavait du monde mais ça allait, c’était pas non plus bombé de monde, genre "otarie sur un rocher". Hummm mais que l’eau était bonne, et comme ça fait du bien de lézarder au soleil!
    Le lendemain, on a fait un bonne promenade dans les bois pour aller ramasser des framboises, qu’on a pas trouvé…on est rentré bredouilles, "ou broucouilles comme on dit dans le Bouchonois". Mais la balade était très agréable. C’est un bois qui borde le lac de Vouglans, et où l’on peut apercevoir "La Chartreuse" l’église du village de Barésia qui a été inondé il y a 40 ans lors de la construction du barrage.
    Nous avons ensuite de nouveau mangé en famille dans le jardin, au milieu du champ… et des vaches. Ca y est, après moultes essais, j’ai réussi à en caresser une de nouveau. Je lui gratouillait la tête et elle se laissait faire. Peu-être que ça fera comme la Marguerite, en tout cas je l’espère. Les dernières fois où j’ai tenter d’en caresser une, je suis tomber sur une "mauvaise". J’explique : j’ai tendu  la main vers elle, elle m’a sentie de son museau mouillé et là, elle a baissé la tête et m’a fixée de ses gros yeux  en sortant un gros "meuhhhh!" et d’un coup elle m’a poussée avec sa tête. Houla, ça fout quand même la trouille, j’ai beau les aimer ces bêbêtes, mais là franchement j’étais pas rassurée. Et elle m’a fait ça à chaque fois. Même quand je m’éloignais, elle continuait à me fixer. Pas commode du tout celle-là. J’ai pris soin de mémoriser le numéro à son oreille et je suis pas prête de retenter le coup avec elle. Non mais des fois!!
    Et pour finir ce beau week-end, on a fait le plein de bons légumes que nous a donné "ma belle maman". Hummmm, courgettes, salades, cotes de bette, choux, rien de mieux que les produits du jardins.  Et un superbe bouquet cueilli par mon chéri , des glaieuils magnifiques de toutes les couleurs, des cosmos et des bleuets, pour sa Noiraude qui était aux anges. Oui, j’adore les fleurs et ça fait parti de ces petits rien qui me rende heureuse, c’est vrai je l’avoue yen faut pas beaucoup.

    Recherche reportage – Relance du 27/10/06

    Recherche reportage vachement cool

    Je
    recherche un reportage que j’ai vu sur la 1 dans la nuit de mercredi à
    3h du mat. Non, la Noiraude était pas encore couchée, elle est en congé
    forcé puisque son contrat va se terminer.

    Cette
    émission s’appelle "Pas folles… les vaches" réalisée par Réha HUTIN
    (la présidente de 30 millions d’amis). C’est vraiment l’Emision à avoir
    pour les amateurs des vaches. Un reportage sur les différentes races
    (l’Aubrac, la limousine, les salers…), sur des endroits vachement
    cool pour les passionnées, sur des passionnés, des paysans grand
    amoureux de leurs vaches et sur plein d’autres choses encore.

    Si quelqu’un qui passe par là pouvait avoir cette émission, merci de me le faire savoir.
    Car je n’ai pas pu noter toutes les info que j’ai vu.
    Meuhrci!!

    Ma vache virtuelle

    Ca y est je suis passée au niveau 4 de vacheland!
    J’ai donc eu une nouvelle vache que j’ai aussi appelée marguerite (oui, bon c’est vrai je me suis pas foulée mais bon c’est aussi en hommage à ma Marguerite) et une nouvelle mission. Attention, très corsée celle là. Je dois vendre 12 veaux de 300 à 400 kg (oui ça c’est le coté moins gais de l’affaire) et 500 beaufort car maintenant je dois en plus d’élever vache et veaux et cultiver 6 champs je fabrique aussi du fromage. Après ça j’aurais une seconde mission pour ce niveau.
    Affaire à suivre
    Voici à quoi ressemble ma nouvelle vache virtuelle. Les petits sont pas encore conçus. Le design à changé

    Rajout de photos

    Je continu dans mes ajouts de photos. J’ai rajouter beaucoup de photos dans mon album "Mes photos de vaches".
    La plupart viennent de cet inoubliable week-end de l’été 2005 où j’ai passé la nuit dans un splendide pâturage de Mont-Soleil en Suisse. Quand on s’est réveillé le matin dans la voiture, on était entourés de vaches qui nous regardaient curieusement. Elles y sont revenues quand on s’est promenés plus loin pour faire des photos. Les vaches sont très étonnées par les essuie-glace et les rétro qu’elles peuvent pas s’empêcher de lécher ou manger. J’ai pu aussi pour la première fois approcher une vache de très près, la caresser et même lui faire un bisou. La Noiraude était aux anges. Merci à mon homme pour ces moments inoubliables.

    Marguerite

    Je crois bien que je dois vous apporter une bien mauvaise nouvelle. Cela fait plusieurs week-end que je vais à la rencontre de Marguerite. Je vois son troupeau, je rentre dans le champ, mais pas de Marguerite. Elles y sont toutes, mais pas elle. J’ai bien peur que le pire soit arrivé. Ils l’ont emmenée…. Marguerite, la seule et unique, celle qui dressait les oreilles quand elle me voyait arriver, celle qui me faisait tout plein de léchouilles, celle qui en faisait voir de toutes les couleurs à ces propriétaires quand elle se sauvait sans arrêt en sautant par dessus les barbelés ou quand elle cassait les branches du pommier et qu’elle mangeait toutes les pommes ou quand elle casait la porte du jardinet de ma belle maman (qui est au milieu du champ entouré d’un peiti grillage avec une porte faite avec des cagettes) en se frottant trop fort la tête dessus. Et tout ça, à plusieurs reprises. Marguerite unique petite vache qui était si caline, qui faisait des tas de bêtises et qui était un peu folle, comme moi. Unique quoi.
    Marguerite va me manquer. Je ne retrouverai surement pas d’autres comme elle.

    Des nouvelles de Marguerite

    J’ai vu Marguerite aujourd’hui. J’ai trouvé le champ où ils les ont déplacées.
    Sur le coup, j’avais du mal à la trouver. Juste quand je suis rentrée dans le champ, j’ai cru la voir alors j’ai tendu la main pour qu’elle me renifle et me lèche la main comme d’habitude, et là, la vache me donne des gros coup de tête (avec les cornes). Houla c’est pas Marguerite ça!! Ca fait peur quand même. Elle était vraiment de mauvais poil celle-là. J’ai vite reculé et j’ai chercher ma copine. Elle était tout au fond du champ. C’était bien elle là je l’ai reconnue, j’ai tendu ma main et elle ma fait sa léchouille habituelle. Mais c’est vraiment plus pareil. Elle continu de brouter comme si j’étais pas vraiment là. C’est dommage. Mais le plus important c’est qu’elle me reconnaisse toujours et qu’elle est toujours là.
    En plus je crois bien qu’elle attend de nouveau un heureux évènement. Son ventre est bien gros. Ca c’est cool car surtout, ça veut dire que les propriétaires vont la mettre dans le champ à coté de leur ferme donc, en face de chez ma belle-maman et donc que je pourrais mieux la voir. Yes!!!
    En plus elle sera surement de nouveau aussi caline qu’avant.
    Voila, très bientot je vous redonnerai des nouvelles de Marguerite, la belle et unique Marguerite.
    Meuhhhhhh!! La Noiraude est bien contente d’avoir revue sa copine

    Recherche reportage vachement cool

    Je recherche un reportage que j’ai vu sur la 1 dans la nuit de mercredi à 3h du mat. Non, la Noiraude était pas encore couchée, elle est en congé forcé puisque son contrat va se terminer.
    Cette émission s’appelle "Pas folles… les vaches" réalisée par Réha HUTIN (la présidente de 30 millions d’amis). C’est vraiment l’Emision à avoir pour les amateurs des vaches. Un reportage sur les différentes races (l’Aubrac, la limousine, les salers…), sur des endroits vachement cool pour les passionnées, sur des passionnés, des paysans grand amoureux de leurs vaches et sur plein d’autres choses encore.
    Si quelqu’un qui passe par là pouvait avoir cette émission, merci de me le faire savoir.
    Car je n’ai pas pu noter toutes les info que j’ai vu.
    Meuhrci!!

    Marguerite

    J’ai revu Marguerite samedi. J’étais trop contente de la retrouver.
    Ca faisait un bail que je ne l’avais pas vu.
    Et, samedi ils l’ont remis dans le champ en face de la maison de ma belle maman.

    Alors à peine levée, quand j’ai vu le troupeau dans le champ, je suis sortis pour voir Marguerite.
    Elle était en train de brouter. Elle a juste levée un coup la tête pour me regarder s’approcher d’elle, puis elle a continué à brouter comme si je ne l’intéressait pas (plus). Je l’ai caressée, elle continuait à brouter. D’habitude elle me léchait la main sans s’arreter elle avait les oreilles dressée en me voyant arrivée vers elle. Là, j’avais vraiment l’impresion qu’elle me faisait la tête. Je sais ça peut paraitre stupide, mais elle n’avait pas du tout cette réaction avant.
    Au bout de quelques caresses, elle a tout de même relevée la tête et m’a donner quelque coups de langue.

    Ha je l’ai papouillée en lui disant : "ça y est ma fille tu me fait plus la tête"
    Puis elle s’est de nouveau remise à brouter en avançant et en ignorant mes caresses, sans relever la tête.
    Ca m’a fait bizarre, avant ça se passait pas comme ça. Mais bon, l’important c’est que je l’ai revu ma Marguerite.
    Je suis allez la voir plusieurs fois dans la journée.
    Le lendemain, je n’ai pas pu la voir, ils avaient changer les vaches de champ.
    J’espère la revoir très bientot.


    I like to meuhhhhhv it

    Vidéo d’une vache totalement folle :
     
     
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    “Pourquoi les vaches” de Paris combo

    Pourquoi les vaches
    Pourquoi les vaches plaisent-elles autant?
    Pourquoi les vaches
    Pourquoi les vaches plaisent-elles autant,
    A toute sorte de gens
    Obstinément?
    Serait-ce à cause de leurs si beaux yeux
    Ou bien à cause de leur sens de l’observation
    À cause de leurs pis à lait
    Qui sait le pourquoi
    De cette attirance là…

    Pourquoi les araignées
    Pourquoi les araignées déplaisent-elles autant
    Pourquoi les araignées
    Pourquoi les araignées déplaisent-elles autant
    A toute sorte de gens
    Obstinément?
    Serait-ce à cause de l’aspect arachné
    Ou bien à cause de leurs pattes au nombre élevé
    De leur toison velue et rayée
    Qui sait le pourquoi
    De cette haine là…

    Pourquoi les poules
    Pourquoi les poules indiffèrent autant
    Pourquoi les poules
    Pourquoi les poules indiffèrent autant
    Toute sorte de gens
    Obstinément?
    Serait-ce à cause de leur manque de malice
    Ou bien à cause de leur long cou à coulisse
    À cause de l’œuf qui fait la poule
    Et la poule qui fait l’œuf lisse
    Qui sait le pourquoi
    De cette indifférence là…

    Mais toi, tu n’es pas la vache, ni l’araignée, ni la poule, ni le poulet…
    Et je t’aime…

    « Les vaches » de Marcel et son orchestre

    Marcel et son orchestre

    Les vaches

    les vaches dans les prés
    il faut le voir de loin
    elles broutent plein de l’herbe
    et puis les fleurs du foin
    elles se melent avec les mouches
    qui les aiment meuh meuh
    qui leur chient dans les oreilles
    et aussi dans les yeux

    meuh meuh meuh font les vaches
    les vaches font meuh meuh
    {x2}

    quand au petit matin
    arrive le fermier
    y a la chef des vaches
    qui l’entend arriver
    et la chef des mouches
    suit la chef des vaches
    ouvre les portes
    pour brouter c’est leur hash

    meuh meuh meuh font les vaches
    les vaches font meuh meuh
    meuh meuh meuh font les vaches
    les vaches font meuh meuh

    elles broutent, elles mangent, elles machent la pelouse
    et le soir dans les prés elles nous offrent les bouses
    et puis faut les rentrer pour prendre le bon lait lait
    les trayeuses sont branchées c’est la fin de la journée

    chin chin font les vaches chin font chin chin
    meuh meuh meuh font les vaches
    les vaches font meuh meuh

    on ne trait pas les mouches
    car elles n’ont pas de lait
    et puis que les trayeuses ca ne sait pas voler
    mais les vaches qui n’ont pas de lait
    ont leur coupe le kiki
    c’est ce que t’as chez leclerc
    et puis bon apetit

     

    La Noiraude

    Grande fan de MADAME La Noiraude voici quelques extraits que j’ai trouvé sur le site officiel http://lanoireaude.free.fr/index.php

    Allô, bonjour Docteur, la Noiraude à l’appareil.
    – Bonjour la Noiraude, qu’est ce qui ne va pas encore ?
    – Docteur, c’est affreux, on publie un livre sur moi.
    – C’est trés bien, la Noiraude ! Il est temps que les lecteurs vous découvrent
    – Oui, mais ils vont découvrir mon coeur de biche qui bat au milieu de mes rumsteaks, et ils vont se moquer.
    – Au contraire, la Noiraude, ils vont vous aimer encore
    plus…
    .



    Allô, bonjour Docteur, la Noiraude à l’appareil.
    – Encore la Noiraude …
    – Docteur, pourquoi vous avez dit encore la Noiraude ?
    – J’ai dit encore ?
    – Vous avez dit encore, en soupirant.
    – J’ai dit encore comme on dit … j’en veux encore.
    – Ah, vous me rassurez. Ca veut dire qu’on en redemande, que tout le monde en veut de la Noiraude ?
    – Là, faut peut être pas exagérer.
    – Dommage, c’était trop beau…

    ET voici mon préféré :
    Allô, bonjour Docteur, la Noiraude à l’appareil.
    – Bonjour la Noiraude, qu’est ce qui ne va pas encore ?
    – Pourquoi parle-t-on de la maladie de la vache folle ?
    – C’est un nom qu’on a trouvé comme ça, c’est plus court. Et puis c’est plus sympathique qu’encéphalite spongiforme bovine.
    – On ne pourrait pas trouver plus court et plus sympathique encore ? "la maladie de l’homme fou", par exemple.
    – Qu’est ce que vous voulez dire ?
    – Ce ne sont pas les vaches qui sont folles, ce sont les hommes.

    Retour de Marguerite

    Hier j’ai revu Marguerite. Elle était parmi les autres vaches. Je sui rentrée dans le champ, eles me regardaient toutes pas très rassurées. Et puis je l’ai vu me fixant du regard. C’était elle, Marguerite. Je suis allée vers elle tendant la main vers son museau pour qu’elle me sente et elle ma léchouillée commme avant. Waou, trop heureuse, après 1 mois, elle m’a reconnue. Je lui fait quelques careses et après elle est parti car le troupeau changeait d’endroit dans le champ.
    Ca y est maintenat je sais qu’on se reverra chaque week-end

    La vache éternelle

     

     


    Vache  

    La vache éternelle !

    «Quels animaux sont les plus avisés?» demande Plutarque.

    Les vaches qui paissent en Hollande savent-elles qu’elles broutent l’herbe des Pays-Bas? Se soucient-elles de frontières, de passés militaires, de l’histoire des reines ou de celle des rois? Ou bien vaquent-elles à leurs affaires, indifférentes quant au site du pré, étrangères aux endroits, pourvu qu’il y ait du foin, quelque chose à manger? Que pensent-elles des clôtures, ces bêtes de l’enclos qui, de la prairie sauvage, ont oublié jusqu’à l’idée? Il y a, dans l’oeil de la vache, comme un voile d’ennui, un je ne sais quoi de résigné qui n’est pas pour l’avantager sous le rapport de la personnalité. Elle obéit au chien qu’elle pourrait encorner. Elle regarde passer les trains sans bouger, ne meuglant ni son espoir, ni sa contrariété.

    Cette obsédée de la lenteur est un trésor de vie réglée. Elle se couche avant la pluie et se contente, pour l’hiver, d’une étable surpeuplée. La promiscuité réchauffe, comme on dit; cela fait tourner le sang que de se jalouser et que de s’entasser dans un recoin malpropre qui sent ce que la bande a digéré. Peu importe la condition, pourvu qu’il y ait du foin à la portée. De bouses en bérets, elles ne nous donnent que du lait. Des vaches, on dit qu’elles aiment la musique et les voix étudiées. Méditatives et renfrognées, elles se laissent volontiers berner. Prisonnières de notre industrie, elles tirent de la vie ce qu’en retirent les prisonniers, si ce n’est que, dans leur cas, il est permis de se demander si elles tiennent tant à s’évader.

    Dépendantes et muettes, elles ont quand même des exigences. On ne peut jamais les laisser seules: allez les vaches, il faut rentrer! D’ailleurs, si nous leur en laissions le choix, prendraient-elles le bord du bois, iraient-elles se refaire une image dans quelque région éloignée? Ou bien rentreraient-elles en ville, sur le coin de nos rues se coucher, s’évacher, dans l’espoir secret qu’un jour ou l’autre, nous les déclarerions religieuses et sacrées?

    En fait, nous savons bien peu de chose sur ce qui trotte dans la tête d’une vache. Nous connaissons mieux la psychologie de la sardine que celle de la première vache venue. Cousteau, sur le sujet, est muet comme une carpe. Pourtant, quand l’orage se déchaîne, la vache est forcément mouillée et quand elle pisse, c’est quand même un spectacle que de la voir pisser. Je verrais bien, un beau dimanche, à la télé, une émission d’une heure, en dramatique et en couleur, où le mystère de la vache nous serait, par un homme-grenouille, au compte-gouttes dévoilé. En troupeau, elles sont pourtant si belles à regarder, réparties ça et là à l’intérieur des lots électrifiés, dispersées sur les coteaux parmi les verts de l’été.

    Les vaches qui, depuis maintenant des millénaires, observent les éleveurs et les regardent faire, ont sûrement sur le sujet une petite idée. Si elles ont l’air nerveuses et bêtes, c’est peut-être qu’elles redoutent le jour où elles auront à l’exprimer. Il y a, dans l’oeil de la vache, un soupçon d’ironie, et bien qu’elle soit manifestement nulle en mathématique, en histoire et en géographie, il apparaît, pour qui sait y voir, qu’elle est passée maîtresse en matière de culture et de philosophie.

    SERGE BOUCHARD, anthropologue et écrivain
    L’Agora, vol. 3, no 6, avril 1996

    Marguerite – suite

    Cela fait 3 semaines que je n’ai pas revu Marguerite. J’ai vu les propriétaires il ya 2 semaines et je leurs ai demandé des nouvelles. Elle a mis bas. C’était des jumeaux mais un seul veau a survécu. Ils l’on mise à l’étable avec son veau. J’ai demandé pour les voir mais ils m’ont dit qu’on ne peut pas les approcher. Ce week end j’ai renouveller ma demande, mais la propriétaire m’a dis la même chose. Ils remettront bientot Margerite avec les aurtres quand son veau sera parti. Et oui malheureusement il ne garde pas le veau, c’est un mâle et ils ne gardent pas les mâles. Dans un sens je me dis que c’est pas plus mal de ne pas avoir vu le veau et de ne pas m’être attachée à lui.
    J’espère bientot la revoir ma Marguerite car elle me manque vraiment. Je retenterai ce week-end. Peut être qu’ils finiront par accepter de m’enmener la voir. Car j’ai l’impression qu’il n’y a pas que le fait qu’on ne peut pas l’approcher, je pense qu’ils se disent surement qu’une nenete de la ville comme moi ne peut pas aller piétiner dans les bouses de vaches.
    J’avai aussi profité du fait que je le voyait (le propriétaire) pour lui demandé le nom de Marguerite (le vrai) mais il ne s’en souviens plus. Je lui ai dis que moi je l’appellerai Marguerite (bon ça n’a pas l’air de l’intéressé, pas plus que le fait que je caresse tout les week-end sa vache depuis plus de 2 mois).
    J’ai essayé aussi d’approcher les autres vaches du troupeau, celles qui sont en champ, mais imposssible, elles sont trop sauvages. J’arrive juste à les approcher de près mais dès que je tens la main elles se sauvent. Je n’ai pu approché réellement que 2 vaches en champ comme Marguerite. La première c’était en Suisse. C’était une Brune (voir photo).
    je me rappelle très bien de cette journée. On prenait des photos avec mon copain dans un grand pâturage en altitude dans le canton de Vaud. Les vaches étaient maginfiques, il y avait plein de races différentes. Au moment où il prenait une jolie peite Prim’holstein en photo, la Brune est arrivé derrière lui, le fixant. Je me suis approchée d’elle, elle m’a sentie, et s’est laissé caresser. C’était la première fois pour moi, j’étais aux anges. Un merveilleux moment. D’ailleurs je n’oubierais jamais cet endroit. On est resté dormir là bas, dans le champ, dans la voiture. Au réveil, on était entouré de vaches, certaines passaient leur tête par les fenêtres ouvertes. Le pare brise était dans un sâle état vu qu’elles se servaient de leur langue comme d’un esui glace. Yen a une qui essayait de manger le rétro et une autre l’essui-glace. Mais aucun dégat à déclaréer, juste de la bave de vache un peu partout. Après est sorti de la voiture doucement. On a resté un moment a regarder ma titine entourée de toutes ces vaches. Hallucinant!

    Rencontre avec Marguerite

    Cela va faire 2 mois maintenant 2 vaches ont été installées dans un champ a part des autres en face de la maison où j’aime passé tout mes week-end, la maison de ma "belle maman" à Crenans.
    Elles sont à l’écart car elles attendent toutes les deux un heureux événement.
     
    De week end en week end j’ai approchée l’une d’entre elles. Pas du tout sauvage la bête! Par contre la deuxième ne se laisse pas approchée. J’arrive seulement à lui toucher le museau des bouts des doigts avant qu’elles ne se sauve.
     
    Mais Marguerite elle (c’est comme ça que je l’ai surnomée), c’est pas pareil, elle me léchouille avec sa grosse langue baveuse. Elle est très affectueuse. Bon j’avoue que c’est pas super agréable, c’est rapeux et baveux.
     
    Je sais pas pour quand le petit est prévu mais elle a un ventre énorme.
     
    En plus la Marguerite elle prend la pose quand on veut la prendre en photo. Enfin, quand elle va pas vers le photographje pour le léchouiller ou sentir et lécher l’appareil. Si bien que la photo devient impossible à faire, à part une photo de museau en très gros plan.
     
    Maintenant on est de vrai potes. Bon c’est vrai que elle est un peu pot de colle point de vue léchouille, elle arrête pas. Mais je la prend comme elle est ma cops!